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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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*** Le Coucou ***
20/10/2005 13:26
Dès l’aube ce matin a chanté le
coucou.
Je ne sais si cela vous inspire
beaucoup,
Mais j’éprouve à l’entendre une certaine joie.
Et pourtant, disons-le, il faut bien qu’on le croie,
Cette pendule à plumes n’est pas bon apôtre.
Il dépose ses œufs dans le logis d’un autre,
Se moque éperdument de sa progéniture,
Et nous donne à penser que Madame Nature,
Le jour qu’elle créa l’infâme profiteur,
Il n’en faut pas douter, avait la tête ailleurs.
Mais cela ne fait rien. Quand
j’entends le coucou,
Je me prends à sourire, et je me dis surtout
L’oreille chatouillée par son appel flûté
Que le printemps est là, et qu’arrive l’été.
Que dans l’abri feuillu de l’arbre centenaire,
Sur le chemin poudreux qui mène à la rivière,
Un oiseau du Bon Dieu, insouciant, moqueur,
Un clair matin d’avril m’a mis la joie au cœur.
Je ne sais si cela vous fait pareil à vous ... Dès l’aube ce matin a chanté le coucou.

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*** Aube ***
20/10/2005 13:19
L’aurore a déchiré les voiles de
la nuit.
Le ciel s’est
empourpré tel orange
sanguine.
Une étoile se meurt derrière la
colline.
La colombe esseulée roucoule son ennui.
Dans le bois clair-obscur
s’agitent les oiseaux.
Le lys va se parer de perles de rosée.
Sous le soleil levant, la nature apaisée
S’apprête à célébrer l’aube d’un jour nouveau.
Compagnon gracieux du rêve
romantique,
Poète de la nuit au chant mélancolique,
Le rossignol s’est tu aux premières lueurs.
Sous le ciel pâlissant la
campagne endormie,
Fière de sa beauté, prodigue de ses fleurs,
Pour tout un jour encor va renaître à la vie.

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J’ai peur de t’Aimer
20/10/2005 12:56
J’ai peur de t’Aimer
J’ai peur de t’Aimer, de t’appartenir, de te voir sourire, j’ai tant rêvé, de toi, sur mon oreiller, tant imaginé, tant souhaité, j’ai peur de t’Aimer, cette chose là, je ne peux l’expliquer, ni te l’avouer, à ton arrivée, je vais être toute décontenancée, je vais aussi pleurée, j’ai peur de t’Aimer, toi et moi, cela sera comme notre première fois, on se découvrira, on va s’aimer, en toute sincérité, quelque chose de vraie, je t’ai demandé de m’aider, car j’ai oublié, ces gestes si bien placés, les mots d’amour susurrés, la belle complicité, qui peut lier, j’ai peur de t’Aimer, au creux de tes bras, je veux retrouver tout cela, emporte-moi, loin de tout, si loin, là-bas, le pays de la joie, celui où l’on ne souffre pas, je ne veux être rien qu’avec toi, je veux que tu m’aimes, comme un enfant, hors du temps, avec de la magie, dans tes yeux, pareils à deux lacs profonds et bleus, surtout ne fais pas semblant, aimes-moi, tout simplement, comme un amant, prends le temps, de m’apprivoiser, je t’apprendrais à voler, à planer, dans les cieux chargés, de mots passionnés, sous le pâle soleil de l’automne, au milieu de la journée, je n’aurais plus peur de t’aimer.... Tu es ma raison d’exister
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L'homme et l'oiseau ...
20/10/2005 12:43
L'homme et l'oiseau ... Pleurant comme un enfant, Un homme, la tête dans ses mains, Sangloter, souffrant, A l'idée de tuer le lendemain.
Un oiseau se pose devant lui, S'approche et lui demande, Pourquoi pleure tu ainsi, Est ce tes souffrances qui te hante ?
Laisse moi tranquille petit oiseau, Répond aggressivement l'homme, Que connais tu des maux ? Brisant l'esprit de l'homme,
Je vis dans le ciel depuis ma naissance, Répond l'animal volant, Vous observer du haut, mon existence, Vous petit être marchant,
Vous pleurez sans cesse, Sur votre propre sort, Tel est votre espèce, Que de vivre mort,
Mais écoute moi bien, Quelque soit tes problèmes, Lève les yeux vers les miens, Et range toutes ces haines,
Ce n'est pas par la mort que tu t'enfuiras, Ce n'est pas en t'echappant que tu gagneras, Regarde le monde, admire notre ciel, Rebouche cette tombe, contemple les merveilles, Trop facile de se laisser allez, Trop facile de se laisser tuer, Oublie ces tristesses d'un soir, brûle ces idées noires et alors tu reprendras espoir ..
Finissant son discours, L'oiseau s'envole dans le ciel, L'homme troublé par ce reveil, Ira rechercher l'amour.
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